
Japan Night : élégance nippone et avant-premières
Japan Night : élégance nippone et avant-premières
Hier soir, le Japon était à l’honneur lors d’une réception scintillante, rassemblant professionnels du cinéma, producteurs et passionnés sur la Croisette. L’événement, qui s’est tenu à partir de 19h, a mis en avant la vitalité du cinéma japonais, avec la présence de plusieurs productions sélectionnées cette année au Festival :
Renoir de Chie Hayakawa, en compétition officielle, un drame sensible sur la résilience d’une fillette face à la maladie de son père à Tokyo.
A Pale View of Hills de Kei Ishikawa, sélectionné à Un Certain Regard, qui explore les souvenirs d’une veuve japonaise entre Nagasaki et l’Angleterre.
Exit 8 de Genki Kawamura, présenté en séances de minuit, adaptation d’un jeu vidéo à succès, où un homme tente d’échapper à un couloir de métro sans fin.
La Japan Night a favorisé le networking autour de ces œuvres et d’autres projets, dans une ambiance raffinée où la gastronomie nippone – sushis délicats, saké pétillant ( Sake Hundred ) – a ravi les convives.
J’ai eu le plaisir de rencontrer un jeune réalisateur français Victor Boccard, parfaitement bilingue, qui nourrit le projet ambitieux de tourner son prochain film au Japon. Même s’il n’a pas pitché officiellement durant la soirée, nos échanges ont révélé sa passion pour la culture japonaise et son expérience déjà riche dans la réalisation de clips publicitaires. Espérons que les rencontres de cette Japan Night lui ouvriront de nouvelles perspectives.
Ambiance kawaii garantie : le photocall a vu certains invités s’amuser avec des accessoires, créant des scènes aussi mignonnes qu’inattendues, à la japonaise.
Plage Magnum : la dernière, mais pas des moindres !
La Plage Magnum reste un incontournable des nuits cannoises. Hier soir, elle a accueilli deux projections exclusives :
– La Petite Dernière (AD VITAM)
– L’Inconnu de la Grande Arche (Le Pacte).
La soirée a pris des allures de dancefloor géant, animée par plusieurs DJ jusqu’à 2h du matin.
Clin d’œil du calendrier : cette “petite dernière” n’était pas seulement le titre du film à l’affiche, mais aussi la dernière grande fête Magnum de cette édition 2025, qui aura une fois de plus su conjuguer festivité et gourmandise avec brio.
Villa Montana : le chic festif signé Le Baron
La Villa Montana, perchée au 47 chemin des Collines, s’est imposée cette nuit comme le repaire des oiseaux de nuit, grâce à une soirée orchestrée par l’équipe du Baron. Ce lieu confidentiel, avec sa piscine et sa vue sur la baie de Cannes, offre un cadre exclusif et raffiné, parfait pour les afterparties jusqu’au petit matin.
Espace à compléter : noms des DJ à ajouter ici. Par exemple, la programmation récente a vu passer Honey Dijon, Rammö, Sudre & Sami Daik, Niddy.
Un écrin parfait pour vivre la fête à la cannoise, où chaque soirée réserve son lot de surprises et de rencontres.

Le Silencio : l’ultime escale nocturne
Après la plage, direction Le Silencio, à deux pas des marches du Palais. Ce club éphémère, véritable épicentre des nuits cannoises, a une nouvelle fois réuni les festivaliers sur son dancefloor, porté par une programmation musicale éclectique et prestigieuse.
Mention spéciale pour la terrasse panoramique, qui offre une vue imprenable sur le port de Cannes : l’endroit idéal pour surveiller son yacht ou simplement s’émerveiller devant la magie nocturne de la Croisette.
Et bien plus encore…
La nuit cannoise ne s’arrête jamais : plage Vega by Cartel, soirées de la Quinzaine des Réalisateurs, Campari Party (toujours à la recherche du contact, même en italien ! ) Ma a quanto pare, anche se approvato amichevolmente da qualcuno che gestisce la lista per raggiungere degli amici… alcuni alla sicurezza preferiscono comunque bloccare — a meno che non scivoli un biglietto non proprio leggero. Voce di corridoio… purtroppo verificata. Io, invece, ho preferito rientrare e scrivere un articolo giornalistico.
A suivre avec d’autre histoire, sur le blog de Cannes !